Il nous faut moins d'un quart d'heure depuis mon petit confort pour nous retrouver en plein centre de la presqu'île de Gamlastan, dont nous faisons le tour en peu de temps - enfin, plus que pour faire le tour d'Alençon, quand même...
Les maigres rues bordées de hautes et majestueuses maisonnées, attention claustrophobes s'abstenir, nous mènent à un palais, ou plutôt devant l'entrée de ce dernier, puisqu'un garde veut nous empêcher d'aller plus loin. Et elle y arrive sacrément bien, cette bougresse. Nous échouons alors, sous la lumière vive du soleil de 22h30, vers un quartier déjà entr'aperçu l'avant-veille. Voilà, un chemin sillonne désormais entre mes deux premières bulles Stockholmiennes.
Malgré le ciel encore très bleu et le soleil encore au-dessus l'horizon, il est déjà tard. Il se fait faim et on doit trouver à manger rapidement. On décide d'aller dans un kébab, pour tester ! Avec nos 6 heures de suédois derrière nous, on a été capable de commander "två kebab i bröd med två coke". Pas mal !
Après s'être rassasié, on repart finir notre petit tour, et on se sépare vers 23h30 pour reprendre le métro à partir de T-Centralen.
Les maigres rues bordées de hautes et majestueuses maisonnées, attention claustrophobes s'abstenir, nous mènent à un palais, ou plutôt devant l'entrée de ce dernier, puisqu'un garde veut nous empêcher d'aller plus loin. Et elle y arrive sacrément bien, cette bougresse. Nous échouons alors, sous la lumière vive du soleil de 22h30, vers un quartier déjà entr'aperçu l'avant-veille. Voilà, un chemin sillonne désormais entre mes deux premières bulles Stockholmiennes.
Après s'être rassasié, on repart finir notre petit tour, et on se sépare vers 23h30 pour reprendre le métro à partir de T-Centralen.
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